Devoirs : semaine du 27 au 31 mai 2019
Dictées quotidiennes :
1. Avalanche prépare le grand départ.
2. Les soldats préparent les jolis uniformes.
3. Le soldat enfile le joli uniforme.
4. Les soldats enfilent les beaux uniformes.
Lundi 27 mai :
Savoir écrire la phrase 1.
Lire p. 122 lignes 1 à 17.
Mardi 28 mai :
Savoir écrire la phrase 2.
Lire F27.
Mercredi 29 mai :
Savoir écrire la phrase 3.
Lire les lignes 18 à 38 p. 122.
Jeudi 30 mai :
Savoir écrire les 4 phrases.
Lire et retenir F27.
Vendredi 31 mai :
Apprendre les 5 premiers vers de la poésie « Les papillons » et la leçon F27.
Avalanche le terrible : épisode 2
Épisode 2 p. 122
Un matin, il déclara à ses hommes :
« Nous sommes à présent suffisamment nombreux pour nous lancer dans la conquête du bout de la Terre, êtes-vous toujours prêts à me suivre ? »
Tous se mirent à hurler et à gesticuler dans tous les sens.
Avalanche leva ses bras au ciel et cria :
« Je n’ai rien compris… »
Avalanche constatait que son armée n’était pas très disciplinée. […]
Pour mettre de l’ordre, Avalanche accepta l’aide de Kataplasm, qui devint son fidèle lieutenant. Comme les oreilles de Jacques, l’un des soldats, dépassaient, il en fit un porte-drapeau. L’armée apprit à se mettre en formation. Avalanche jugea les armes inutiles, mais il décida qu’il leur fallait de beaux uniformes.
Le lendemain à l’aube, Avalanche s’aperçut que pendant la nuit, il lui était poussé une énorme moustache. Il sut alors que c’était un signe et qu’il était désormais prêt à partir jusqu’au bout de la Terre avec sa terrible armée.
Il réveilla ses soldats et ils préparèrent leur départ.
Mais ils mirent un certain temps à enfiler leurs nouveaux beaux uniformes, et ils ne partirent qu’à midi.
Jacques ouvrait la marche avec le drapeau, suivi d’Avalanche et d’Aristote. Derrière, Kataplasm vérifiait qu’aucune oreille ne dépassait. Et c’est ainsi qu’Avalanche se lança dans la conquête du monde.
Au début, il n’y eut rien de bien difficile à prendre, juste quelques villages, très vite impressionnés par la majesté de l’armée d’Avalanche. Puis vinrent les villes. Plus importantes, elles résistaient davantage mais finissaient toujours par succomber au charme et à la puissance d’Avalanche.
Quelquefois, une ville s’obstinait à résister.
Avalanche s’avançait alors et criait :
« Envoyez-moi votre champion ! »
Un homme venait à sa rencontre, la plupart du temps un colosse avec le corps couvert de tatouages.
Il se penchait vers Avalanche et lui demandait :
« Je n’ai pas bien compris ton nom ? »
Et quand ce dernier lui répondait, le colosse repartait vers la ville en poussant de petits cris aigus :
« Ouvrez les portes ! Ouvrez les portes ! C’est lui ! C’est bien lui ! C’est Avalanche le Terriiiiiible ! »
Pour écouter, clique ici : Avalanche_ep
Message d'Eva Chiotis, enseignante d'anglais
Avalanche le Terrible : épisode 1
Épisode 1 p. 118
Voici l’histoire d’Avalanche. Un beau jour, son père lui offrit un cheval.
Avalanche le monta aussitôt et dit :
« Avance ! »
Mais le cheval ne bougea pas d’un poil.
Avalanche insista :
« Avance, bourrique ! »
Le cheval bâilla.
Calmement, posément, Avalanche descendit de son cheval, et il le mangea.
Depuis ce jour, tout le monde l’appela Avalanche le Terrible.
Avalanche n’avait plus de cheval.
Or, il lui fallait une monture pour voyager à travers les steppes. Il alla trouver son père.
« Père, il me faut une monture pour voyager à travers les steppes. »
Son père se prit la tête dans les mains.
« Mon pauvre Avalanche, tu es vraiment terrible, la dernière monture que je t’ai donnée, tu l’as mangée. Alors maintenant, débrouille-toi. »
Avalanche suivit le conseil de son père. Il se débrouilla et trouva rapidement une nouvelle monture : c’était un énorme bison. Il lui tapota le mufle.
« C’est un bon bison, ça… Je t’appellerai Aristote. »
Avalanche et Aristote partirent pour l’aventure.
Ils arrivèrent dans un petit village.
Les villageois, étonnés, sortirent de leurs huttes.
Avalanche déclara :
« Je suis Avalanche le Terrible. »
Tous se mirent à rire et à lui jeter des petits cailloux. [...]
Avalanche descendit calmement de son énorme bison.
Il se saisit d’un énorme rocher et le lança sur la hutte du chef du village.
La hutte s’écrabouilla et tous les villageois s’écrièrent comme un seul homme :
« HOOOOOOOOOooooo ! »
Ils préparèrent alors un gigantesque festin à Avalanche en signe de soumission. [...]
Avalanche repartit. Les villages, épouvantés par son nom, se rendirent les uns après les autres. Les hommes les plus courageux se joignant à lui, ils e retrouva à la tête d‘une véritable armée.
Pour écouter, clique ici : Avalanche_ep
Notre nouvelle poésie : Les papillons
Les papillons
De toutes les belles choses
Qui vous manquent en hiver,
Qu'aimez-vous mieux ?
- Moi, les roses;
- Moi, l'aspect d'un beau pré vert;
- Moi, la moisson blondissante,
Chevelure des sillons;
- Moi, le rossignol qui chante;
- Et moi, les beaux papillons.
Le papillon, fleur sans tige
Qui voltige, Que l'on cueille en un réseau;
Dans la nature infinie,
Harmonie
Entre la plante et l'oiseau.
Gérard de Nerval